giovedì 20 dicembre 2012

SYRIE, LES CAMPS DE LA HONTE.


Saleh a perdu sa femme et son frere. Il s'occupe maintenant des 2 familles.


Au camp d'Atmeh, les Syriens, majoritairement de la région d'Idlib, affluent dans l'espoir de passer en Turquie. Mais la frontière, qui n'est qu'à quelques dizaines de mètres, est fermée depuis trois mois. Alors les familles s'entassent dans dans des tentes qui ne les protègent pas du froid, dans des conditions d'hygiène déplorables, et peu d'aide humanitaire. El-Assad, lui, bombarde les alentours...

fonte: Paris Match

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